N° 120 - Été 2016

Zaha Hadid, une architecture fluide

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couverture numéro 120

Les articles de l'édition

Penser le fondamentalisme

Publié par Luc Ferry

Chronique du verbe Aimer

Aime-t-on ? Ou aime-t-on aimer ?

Publié par Gilbert Sinoué

Faites connaissance avec le citoyen idéal. Et puis, essayez de l’oublier...

Publié par Philippe Bouvard

Noëlle Revaz

Laurent

Publié par Noëlle Revaz

Aude Seigne

Portrait subjectif de la Corée du Sud

Publié par Aude Seigne

Professeur Roger Francillon. « A mon sens, la notion de littérature repose sur trois facteurs déterminants : une langue, un territoire, un champ institutionnel. »

« Vous avez dit littérature romande ? »

Publié par Roger Francillon

Marc Voltenauer. Lauréat du Prix littéraire SPG 2016 pour son roman Le Dragon du Muveran

Le mystère de Gryon enfin élucidé

Publié par Christine Esseiva

Le minimalisme à l’œuvre. Tara Button espère abolir la culture du tout-jetable en promouvant des marques de qualité.

Le minimalisme, une nouvelle vision du bonheur

Publié par Amandine Alexandre

Les plantes sauvages, fraîches ou séchées. Un plaisir gratuit et à portée de main presque toute l’année !

Retour en grâce des « mauvaises herbes »

Publié par Nathalie Beaudoin-Pasquier

Micro devant un public attentif

L’art oratoire, entre nécessité et passions

Publié par Charlotte Alix

Heydar Aliyev Center, Bakou, Azerbaïdjan, 2012. Une fluidité architecturale évidente ressort de cette image d’un centre culturel avec une superficie de plus de 100 000 m2.

Zaha Hadid une architecture fluide

Publié par Philip Jodidio

Les travaux de rénovation du Colisée. Selon le programme, la façade sera achevée cette année.

À Rome, tous les chemins mènent au mécénat

Publié par Olivier Cougard

Le mudac, un musée pour tous. A Lausanne, cette institution est synonyme de passerelle entre la vielle ville et la ville moderne, entre l’art antique et l’art moderne.

Mudac, un musée foisonnant dédié à l’art et au design

Publié par Adrien Buchet

Protégées des viols et des agressions. Malgré l’insalubrité du bidonville et sa surpopulation, les femmes se sentent plus en sécurité à Kathputli que dans les rues de New Delhi.

Kathputli, la ville des magiciens et cracheurs de feu

Publié par Jean Marie Hosatte